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didon et énée
Le Poème Harmonique revient avec un chef-d’œuvre de Purcell en version concert ! Prenez un récit fondateur, une histoire d’amour mythique, un palais et sa Reine, une sorcière et sa cohorte d’êtres maléfiques, une caverne, une forêt, un port qui devient le lieu d’une séparation déchirante, un compositeur génial et un ensemble musical de premier ordre : voici réunis tous les éléments pour accéder au sublime de l’art lyrique !
Larguez les amarres à Carthage pour vivre l’incroyable histoire d’amour entre la Reine Didon et Énée, illustre Prince de Troie ! Cet opéra d’Henry Purcell est certainement l’un des chefs-d’œuvre de l’histoire du genre et aussi l’un des plus déchirants de l’histoire de la musique. Après en avoir créé une version scénique à l’Opéra de Rouen, reprise à l’Opéra Royal de Versailles et à Bruxelles, Vincent Dumestre et son Poème Harmonique vous l’offrent ici dans une version concert. Pas de mise en scène, mais plus d’une heure de musique d’une incroyable vitalité, trois actes palpitants, des airs bouleversants, des émotions universelles. La force dramatique est intacte : désirs, conflits, magie et une fin poignante qui reste un sommet du genre. On touche au sublime, notamment grâce à la voix enchanteresse de la jeune mezzo-soprano française Adèle Charvet. Cet opéra de la fin du 17e siècle, empli de désir, de conflit et d’émotions, est une immersion au cœur du baroque anglais. Un Remember me dont on se souvient… à vie.
didon et énée
didon et énée
Théâtre . Salle à l'Italienne zonée
Surtitré en français
Ouverture des réservations :
→ Mercredi 10 septembre pour les abonné·es TANDEM
→ Mercredi 1er octobre pour le tout public
Distribution
Chœur et orchestre Le Poème Harmonique
Direction musicale Vincent Dumestre
Adèle Charvet, Didon, reine de Carthage
Perrine Devillers, Belinda, sa sœur
Jean-Christophe Lannièce, Enée, prince troyen
Igor Bouin, la magicienne, un marin
Caroline Meng, première sorcière
Fernando Escalone Melendez, un esprit, deuxième sorcière
Marie Théoleyre, seconde dame
Crédit photo Charles Plumey
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