{ Autour du spectacle }
Atelier sérigraphie à la manière de Baro d'Evel
Presse
« Tapissées d’espièglerie et de poésie, les anfractuosités de Falaise se révèlent singulièrement hospitalières, à l’image d’une troupe qui, sans tapage, continue de s’imposer parmi les plus attachantes du paysage scénique français. »
Libération
Falaise
Spectacle après spectacle, la compagnie Baro d’evel invite à un fascinant voyage entre cirque, clown, poésie, danse, opéra et arts visuels où humains et animaux partagent le plateau.
Après le mémorable Là, où dans un espace nu blanc et noir, un homme, une femme et un corbeau racontaient quelque chose comme le commencement du monde, Falaise explore l’envers de l’histoire. Nous voici donc de l’autre côté de ce haut mur qu’ils n’avaient de cesse de franchir. L’épopée se déroule toujours en bichromie mais elle se joue désormais au pluriel avec huit humains, un cheval et des pigeons. Une famille, une troupe, une humanité, fragile et obstinée, qui cherche, tâtonne, avance du mieux qu’elle peut dans le labyrinthe de l’époque. Ici et là, on entrevoit encore ces événements rituels qui fondent la communauté : un mariage, un enterrement, une révolte…
Fable poétique et puissamment métaphorique, Falaise dit l’effritement, la chute, le vertige et ce qu’il en advient parfois aussi de fort et d’harmonieux. Portée par le duo Camille Decourtye et Blaï Mateu Trias, la compagnie Baro d’evel (une expression signifiant à peu près « nom de Dieu ! » en langue manouche) explore les chemins de traverse, depuis plus de vingt ans, pour raconter le monde avec une poésie brute et subtile qui n’appartient qu’à eux.
Distribution
Avec
Noëmie Bouisson
Camille Decourtye
Claire Lamothe
Blaï Mateu Trias
Oriol Pla
Julian Sicard
Marti Soler
Guillermo Weickert
un cheval
des pigeons
Auteurs
Metteurs en scène
Camille Decourtye
Blaï Mateu Trias
{ Autour du spectacle }
Atelier sérigraphie à la manière de Baro d'Evel
Presse
« Tapissées d’espièglerie et de poésie, les anfractuosités de Falaise se révèlent singulièrement hospitalières, à l’image d’une troupe qui, sans tapage, continue de s’imposer parmi les plus attachantes du paysage scénique français. »
Libération